Marcel Bianchi, fondateur du cabinet Energie et Santé : centre de formation et de consultations à Lausanne, une énergie aussi réjouissante que bienfaisante 🌟
Le décodage biologique considère que les symptômes physiques ont un sens et sont liés à des événements émotionnels, à des conflits intérieurs ou à des expériences vécues. Il explore les liens entre le corps, l’esprit et les émotions. Nous avons déjà publié un article consacré à ce sujet
Nous avons demandé à Marcel Bianchi qui donne des cours en présentiel ou à distance à ce sujet important de nos jours de nous en parler à nouveau. La rédaction
Le décodage biologique est une approche thérapeutique qui cherche à comprendre les maladies, douleurs ou handicaps des patients à partir de leur origine biologique. Le décodage biologique écoute et accompagne les patients en cherchant à comprendre l’origine de leurs problèmes de santé. Il peut aider à accepter, surmonter et guérir les maladies en explorant leurs racines. D’ailleurs, cette approche vise à rétablir un fonctionnement physiologique sain en travaillant sur les aspects psychologiques.
Certes, le décodage biologique a des détracteurs. C’est vrai aussi qu’il suscite quelques critiques. La principale critique est que cette approche thérapeutique manque de preuves scientifiques solides pour étayer les concepts du décodage biologique. Or, les études cliniques rigoureuses sont assez rares. La validation empirique de cette approche reste donc difficile. Toutefois les détracteurs du décodage biologique ne se posent pas la question de savoir si la maladie a un sens ou non. Ils reprochent à cette méthode que l’interprétation est souvent subjective et peut varier d’un praticien à l’autre.
Un médecin, le docteur Thierry Janssen, a été un des célèbres médecins à se poser la question. Dans son livre éponyme (La maladie a-t-elle un sens ?), il se confronte à ces questions avec une audace remarquable. La médecine classique ne se pose pas du tout cette question pourtant fondamentale : qu’en est-il de l’intégralité de l’être ? Non, la médecine classique ne veut pas l’entendre. Pour elle, c’est le corps qu’il convient de soigner, un point c’est tout ! Elle met de côté le monde, l’environnement dans lequel vit une personne qui a un mal-être et recherche à guérir.
La maladie est-elle une fatalité ?
Pour certaines orientations disons que oui. Pour d’autres qui connaissent les mots « le mal a dit », la maladie n’est point une fatalité. Tombons-nous malades vraiment comme par hasard ? Pourquoi la maladie ne serait-elle le moyen que possède notre organisme pour nous permettre de se trouver, face à des situations des plus perturbantes. Pourquoi la maladie ne rechercherait-elle pas de trouver un nouvel équilibre ? Nos pathologies ne seraient-elles pas alors le symptôme d’un malaise plus profond ? Je ne sais plus quel savant a dit un jour : « Il n’y a pas d’expériences sans erreurs, tout comme il n’y a pas d’évolution sans expériences. ». Même la physique quantique évolue. J’en veux pour preuve les nouvelles découvertes scientifiques faites sur les spermatozoïdes qui défient les lois de la physique.1. En ce qui me concerne, je ne pense pas que la maladie soit une fatalité. Sinon, je n’enseignerais pas le décodage biologique ! La maladie a bien un sens, c’est un témoin lumineux qui nous indique qu’il y a quelque chose à changer.
Et si nous osions dire que la maladie cherche à nous guérir ?
Il y a mille et un exemples dans lesquels le décodage biologique pourrait aider à trouver des pistes.
Par exemple, la plupart des problèmes liés au vagin de la femme se rapportent à la vie sexuelle féminine. De fait, ces problèmes ô combien difficiles à surmonter chez les femmes les empêchent d’avoir des relations sexuelles. S’agissant de vaginite, herpès génital, tumeur, cancer, etc., le décodage biologique interrogera notamment la femme sur sa perception de la sexualité. De sa sexualité. Se sent-elle manipulée sexuellement ? Se sent-elle non valorisée ? Se donne-t-elle le droit de souhaiter des relations sexuelles ? On demandera alors aussi à la femme victime d’une de ces pathologies énoncées plus haut : « Quelle était alors votre situation émotionnelle et/ou sentimentale avant qu’apparaissent vos premiers symptômes ? »
Autre exemple : Une surcharge pondérale dont tant les hommes que les femmes peuvent souffrir est un autre problème pathologique et non des moindres à notre époque.
Là aussi, le décodage biologique peut énormément aider. Sincèrement, je ne pense pas qu’il y ait actuellement des médecins qui aient le temps en cabinet médical de consacrer suffisamment de temps à son patient ou à sa patiente obèse. D’ailleurs, il semble que la personne obèse n’ait pas souvent l’aptitude de regarder au-delà du physique. Pourtant, ce serait en soi que l’on découvrira la cause qui se cache dans la surcharge pondérale. Là encore le décodage biologique permettra d’arriver à un déblocage mental, voire spirituel. S’agissant de la surcharge pondérale, les études cliniques rigoureuses que les détracteurs de cette méthode empirique exigent sont pratiquement inexistantes. Alors évidemment, les scientifiques n’acceptant pas d’autres méthodes que la leur ne sauraient valider cette approche dans de tels cas. Pourtant, entre 1990 et 2022, le taux d’obésité a quadruplé chez les enfants et les adolescents, et doublé chez les adultes. Il ne s’agit de loin pas seulement de problèmes de malbouffe et de consommation excessive de sucre. Les personnes qui s’inscrivent à nos cours sont de plus en plus persuadées que leurs émotions ont un fondement biologique.
Ces personnes savent que le genou est le décodage symbolique le plus connu. C’est le conflit du je -nous. Mais il y a, bien sûr des dizaines d’interprétations possibles, par exemple, lorsque les genoux ne répondent plus du tout, il y a refus d’avancer ou de progresser. Et comme leur corps dépend intimement du vécu et de l’histoire de chacun, il leur enverra des messages. Ces derniers seront évidemment différents d’un individu à l’autre.
Je ne connais pas le pourcentage des personnes ayant un conflit je-nous, mais ce que je sais c’est qu’il y a une kyrielle de personnes qui vivent d’autres conflits. Et là, les cours que nous dispensons au Centre de formation et de consultations Énergie et santé peuvent vraiment leur apporter un important soutien pour se sentir mieux.