Les impacts biologiques liés aux ondes électromagnétiques

Une femme souffrant d'insomnie

Il y a, – nous dit notre remarquable scientifique Philippe Margoux Menneret – de nombreux impacts biologiques, liés aux ondes électromagnétiques. L’un des plus importants pour l’être humain et celui sur le sommeil, en lien avec une baisse de mélatonine, produite par la glande pinéale. Notre scientifique pratique et enseigne aussi la biorésonance quantique depuis de nombreuses années. En nous dévoilant non seulement une grande expérience, mais également une connaissance surprenante du monde ésotérique, il se distingue par sa grande qualité, son très haut niveau de conscience. Son expertise et son savoir-faire dans ce domaine sont donc inestimables et enrichissent ainsi notre compréhension globale. La rédaction

L’épiphyse – ou glande pinéale


L’épiphyse – ou glande pinéale –, a une forme conique. Elle mesure entre 6 et 10 mm de long, alors qu’elle reçoit un afflux de sang important, quasiment équivalent à celui de nos reins.
On la compare souvent à une pomme de pin, d’où le terme “pinéale”. Cette petite glande endocrine se trouve au centre du cerveau, au-dessus et à l’arrière du troisième ventricule.

Schéma de la glande pinéale

Elle joue d’ailleurs un rôle crucial dans la régulation des rythmes biologiques, notamment dans le cycle veille-sommeil, grâce à la sécrétion de mélatonine. Mais la glande pinéale est extrêmement photosensible et électrosensible, donc réactive à la lumière du jour, et aux Champs Electromagnétique CEM.

Rôle de la glande pinéale

Qu’est-ce que la mélatonine ?

La mélatonine, dérivée de la sérotonine, module tous nos schémas de vigilance et de sommeil appelés rythmes circadiens. A leur propos je vous invite à relire la passionnante interview du professeur André Mermoud :

Cela dit, la mélatonine régule en même temps notre entrée dans la puberté. Ainsi, nous savons aujourd’hui qu’elle agit comme une horloge biologique extrêmement précise et que son activité est très intense jusqu’à nos 7-8 ans. En effet, à cet instant de notre vie, notre production de mélatonine commence petit à petit à chuter, car notre maturité sexuelle se met doucement en place. Sa calcification entre 12 et 20 ans entraîne de nombreux désordres endocriniens.

Les désordres endocriniens sont des troubles qui affectent le système endocrinien, un réseau de glandes qui produisent et libèrent des hormones dans le sang pour réguler diverses fonctions corporelles. Ces troubles peuvent avoir un impact significatif sur la qualité de vie et nécessitent souvent un traitement médical pour gérer les symptômes et rétablir l’équilibre hormonal. Le diabète, hypo-et l’hyperthyroïdie, la maladie de Cushing (niveaux excessifs de cortisol) ou maladie d’Addison[1] sont quelques exemples des désordres endocriniens.   

Autant dire que la glande pinéale est une pièce maîtresse de notre cerveau qui traduit les signaux de notre encéphale en réponses endocriniennes. C’est la clef de voûte de l’activation d’une grande partie de nos glandes internes. La sécrétion de mélatonine est soumise à une activité inhibitrice en pleine lumière. Pourquoi ? Parce que la lumière stimule le noyau suprachiasmatique, en inhibant la voie sympathique préganglionnaire.

Le noyau suprachiasmatique (NSC) est une petite structure de l’hypothalamus, située juste au-dessus du chiasma optique. Composé d’environ 20 000 neurones, il régule les rythmes circadiens, qui sont des cycles biologiques d’environ 24 heures. Le NSC reçoit des informations sur la lumière ambiante grâce aux cellules photosensibles de la rétine. Cela lui permet de synchroniser les rythmes circadiens avec le cycle jour-nuit. Il influence ainsi des fonctions corporelles comme le sommeil, la température corporelle et la sécrétion d’hormones telles que la mélatonine.

En résumé, le NSC fonctionne comme une horloge interne, aidant notre corps à s’adapter aux variations de lumière et à maintenir un rythme biologique stable.

Il s’ensuit une baisse de sécrétion. Autrement dit, plus la lumière baissera, moins l’inhibition sera conséquente et plus la sécrétion de mélatonine dans la circulation sera importante, jusqu’à entraîner l’endormissement.

Schéma de fonctionnement de la glande pinéale

Toutes les traditions spirituelles – depuis celles des Sumériens, en passant par la Franc-Maçonnerie ou encore les Illuminati, ainsi que les grandes religions ont cette glande en commun, considérée comme la passerelle entre « le bas et le haut », siège de la divinité ou de l’intuition dans l’homme.  L’éveil spirituel pour ces traditions ou religions étant, soit un point de départ, soit un aboutissement. Tenez, je vous donne quelques exemples. 

Dans les textes sacrés Védas, à l’origine de l’hindouisme, le siège du chakra couronne Sahasrara,. Dans la tradition millénaire des Egyptiens, le troisième œil ou l’œil d’Horus (divinité à tête de faucon = « le lointain »), nommé Oudjat, dont fait partie la glande pinéale.

L’Œil oudjat était souvent utilisé comme amulette pour se protéger contre le mal et il était aussi naturellement également peint sur les sarcophages et les bateaux pour assurer la sécurité et la direction. Il est devenu un symbole puissant de protection et de guérison dans la culture égyptienne.

La tradition rapporte que cet œil montre ce que les deux autres ne permettent pas de voir.

Le 3ème œil

Autre exemple encore, la pomme de pin du Vatican. La pomme de pin (pigna en italien) du Vatican[2] est une imposante sculpture en bronze datant de l’Antiquité romaine. La Pigna est souvent considérée comme un symbole de prospérité, d’abondance et de fertilité.

La Pigna du Vatican
Symbole du 3ème œil

La glande pinéale est la « montagne » de la Bible où se fait la communication avec le Très Haut quand Moïse reçoit les tables de la Loi.  Il est vrai que la connexion entre la glande pinéale et la communication divine est davantage une interprétation moderne et métaphorique.

De la forme d’une pomme de pin et considérée par beaucoup comme la partie la plus importante de notre système nerveux, la glande pinéale agit comme un émetteur récepteur spirituel nous permettant ainsi d’atteindre des niveaux de consciences plus élevées.

Les Égyptiens, Descartes, Pythagore ou encore Platon et tant d’autres la voyaient comme le siège de l’âme.  Nous ne parlerons pas ici d’au-delà mais de l’Univers dont l’homme fait partie. Ni non plus de pouvoirs surnaturels, mais de facultés extra-sensorielles et spirituelles.

Les taoïstes affirment que la glande pinéale est localisée dans le Lieu de Cristal, une zone à l’intérieur du cerveau qui contient la glande pituitaire (l’hypophyse), l’hypothalamus, le thalamus et la glande pinéale (l’épiphyse). Ils ont la conviction que lorsque ces glandes fonctionnent à leur niveau optimal, les substances que celles-ci produisent (les hormones et les neurotransmetteurs) soutiennent l’expansion de la conscience et permettent l’accès aux mondes parallèles paradisiaques qui existent au-delà de la réalité du plan physique.

La glande pinéale est donc incontestablement notre montre interne et biologique, qui aide notre organisme à s’intégrer dans les rythmes naturels du milieu où il vit. La glande pinéale nous dit quand il faut dormir –même si nous ne lui obéissons pas ! –, comment s’adapter aux modifications de saison, quand la puberté commence, etc. Des aspects extérieurs telle la température et la lumière, ainsi que les messages internes comme les émotions et les états, guident la glande pinéale pour qu’elle parvienne à adapter la biologie de l’organisme au milieu. 

C’est ainsi que l’état d’esprit, le sommeil, l’immunité, les rythmes saisonniers et la menstruation sont réglés. La glande pinéale règle d’ailleurs aussi l’intégration de l’organisme dans les rythmes temporels par la sécrétion de sérotonine et de mélatonine et, également, par sa communication avec l’hypothalamus. 

La mélatonine suscite la cyclicité veille-sommeil, augmente l’habileté de nous rappeler de nos rêves, maintient la libido, renforce le système immunitaire, améliore la qualité du sommeil, agit en tant qu’antioxydant et soutient les fonctions saisonnières. 

Les insomnies apparaissent d’habitude entre 2 et 4h du matin, pendant la période de sécrétion de la mélatonine. Une sécrétion réduite mène à l’apparition de dépressions.

Afin de survivre aux variations cycliques du milieu, les organismes sur la planète ont besoin de mécanismes non seulement pour détecter les modifications du milieu où ils vivent, mais aussi pour les anticiper. En absence d’une clef explicite provenant du milieu, les organismes ont besoin d’un signal interne sur les changements qui apparaissent afin de pouvoir réaliser à temps des modifications adaptatives au niveau de la biologie de l’organisme.  La glande pinéale est le senseur extrêmement fin spécialisé à détecter ces modifications et en mesure d’initier les réglages physiologiques nécessaires.

Lorsque la glande pinéale fonctionne harmonieusement, elle confère à l’individu, un état de bien-être, d’équilibre intérieur, une tendance à la spiritualité et une attitude solaire.

Lorsque cette glande endocrine ne fonctionne pas harmonieusement ou qu’elle est bloquée, apparaît l’attachement exacerbé envers le monde matériel et la peur de la mort.

En 1988, le chercheur Vaul Heart a découvert que la glande pinéale était un organe sensoriel qui convertissait l’onde magnétique en neurochimie.  
Capteur des ondes provenant de l’univers, elle coordonne nos biorythmes avec les fréquences provenant des planètes. C’est l’unique organe du corps qui soit lié à l’espace-temps ou à la 4ème dimension.
Les scientifiques ont constaté que, à l’image d’une antenne, la glande pinéale était capable de capter les radiations électromagnétiques de la Lune, les radiations électromagnétiques venues du soleil, et même d’éveiller la production de certaines substances neurotransmettrices, qui stimulent l’activité physique et mentale. La glande pinéale est capable de capter les champs électromagnétiques non seulement de cette dimension, dans laquelle nous vivons, qui est la troisième, mais aussi des autres dimensions de l’univers, permettant ainsi d’accéder aux champs spirituels et subtils. 

D’après la théorie des supercordes, dans le cadre de la physique quantique, il n’existerait pas moins de 11 dimensions différentes dans l’univers, et une communication entre elles serait possible. 

En d’autres termes, la glande pinéale serait capable de détecter les dimensions invisibles aux yeux ordinaires, et ce petit radar serait lié aux phénomènes tels que la clairvoyance (voyance d’événements non encore advenus), la télépathie (communication au moyen de la pensée) et la capacité d’entrer en contact avec d’autres dimensions (médiumnité) et d’autres qualités dont Jésus  était probablement déjà pourvu il y a 2000 ans.

Songez que si c’était notre cerveau qui produisait la pensée, ce serait comme l’on croyait que les acteurs des films passant à la télévision vivaient à l’intérieur de notre téléviseur.

Aujourd’hui, le cerveau est comparé à un ordinateur. Le problème est qu’il n’existe aucun ordinateur produisant son propre programme. Tout le monde sait que le programme est produit par un autre être – le programmateur ! –qui installe le programme dans l’ordinateur.

Aussi, la pensée, l’imagination, ne sauraient naître à l’intérieur du cerveau : cela ne peut venir que de l’extérieur et être installée dans le cerveau.

La glande pinéale est très sensible aux facteurs toxicologiques environnementaux, à la calcification massive qui survient naturellement entre 12 et 20 ans, souvent liée quand on ne boit pas assez d’eau, par l’apport des fluorures, notamment des dentifrices, des métaux lourds, de l’acidose (vu la dernière fois avec le stress radiatif et ses conséquences).

Le THC (cannabis) inhibe sa sécrétion en perturbant la cascade de réactions biochimiques et enzymatiques à partir de la noradrénaline, précurseur de l’adrénaline. La veille est engendrée.

L’électro smog des Rayonnements Electro Magnétique a le pouvoir d’altérer cette structure très irriguée par le sang, voire interrompre définitivement la sécrétion de mélatonine, d’où insomnies, fatigue, stress et baisse de la productivité professionnelle.


[1] La maladie d’Addison est une insuffisance des glandes surrénales à produire suffisamment de cortisol et d’aldostérone, entraînant de la fatigue et une faiblesse musculaire.

[2] Cette sculpture a été trouvée au Moyen Âge dans les thermes d’Agrippa à Rome et aurait probablement décoré le temple d’Isis du Champ de Mars.

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