Voici un reportage des plus instructifs sur l’eau, réalisé par notre journaliste scientifique. L’eau est souvent contaminée par des produits chimiques, des déchets industriels et agricoles. Mais aussi par des microplastiques si l’on songe que l’eau que nous buvons est pratiquement toute remplie dans des bouteilles d’eau minérale en plastique. Yves Rebaud fait le point et a fait une découverte. Retenez bien ce nom : LAB’EAU qui pourrait bien changer la donne pour votre conservation. La Rédaction
L’eau, c’est la vie qui coule, qui s’épanouit et qui se transforme. Elle est la rivière qui serpente comme un serpent argenté, le lac qui miroite sous le soleil, tel un miroir magique, la pluie qui caresse doucement les feuilles comme un doux baiser. On sait entretemps que les feuilles des végétaux aspirent cet élément vital. L’eau n’est-elle pas en effet le reflet de notre monde, claire et limpide, portant en elle la mémoire des montagnes et des océans ?
L’eau, source de vie et de pureté
Dans le ballet éternel de la nature, l’eau danse avec grâce et légèreté. Elle murmure des secrets anciens, glissant sur les pierres et nourrissant la terre. Chaque goutte est une promesse de renouveau, un éclat de pureté qui rafraîchit l’âme.
Dans chaque verre d’eau, il y a une histoire, une aventure qui commence. Elle désaltère, elle purifie, elle revitalise. Imaginez la fraîcheur d’une gorgée d’eau glacée par une chaude journée d’été, la sensation de la pluie sur votre peau, ou le bruit apaisant d’un ruisseau qui coule doucement. Elle est l’essence même de notre existence, un trésor précieux que nous devons chérir et protéger. Laissez-vous emporter par la magie de l’eau, cette force tranquille et puissante. Elle est le souffle de la nature, le chant de la vie. Buvez à sa source, et ressentez la vitalité qu’elle vous offre.
Ce que je viens de pondre plus ou moins poétiquement, n’est hélas pourtant pas la stricte vérité. Aujourd’hui ce n’est plus la poésie que je viens de taper sur mon clavier de PC. Avant de passer à la réalité je vous laisse un instant de répit avec le charmant chanteur Henri Dès.
Voici la deuxième déconvenue si vous songez à l’eau du robinet. L’eau parcourt un long chemin avant d’arriver à votre robinet. En général, l’eau peut parcourir plusieurs dizaines de kilomètres depuis sa source jusqu’à votre domicile. Pourquoi ? Parce que le trajet inclut plusieurs étapes. L’eau est d’abord captée dans des nappes phréatiques, des rivières, des lacs ou des réservoirs souterrains. Elle est ensuite acheminée vers des usines de traitement où elle subit divers processus de purification pour devenir soi-disant potable. L’eau traitée est stockée dans des réservoirs ou …
… dans des châteaux d’eau !
Enfin, elle est distribuée via un réseau complexe de canalisations jusqu’à votre robinet. La distance exacte peut varier en fonction de la localisation géographique et des infrastructures locales, mais elle peut facilement atteindre plusieurs dizaines de kilomètres.
Et l’eau dans les bouteilles d’eau en plastique ?
Vous décourager n’est pas mon rôle de journaliste scientifique, mais de vous informer !
Les premières bouteilles en plastique datent des années 1960. Elles étaient fabriquées en PVC et utilisées principalement pour les produits alimentaires et ménagers. Rappelons qu’en 1968, Vittel a introduit les premières bouteilles en plastique en France. Les microparticules de plastique présentes dans les bouteilles d’eau en plastique peuvent être nocives pour notre santé et ce pour plusieurs raisons. Il faut en effet savoir que depuis, la production de bouteilles en plastique a évolué, notamment avec l’introduction du PET (polytéréphtalate d’éthylène) dans les années 1990, qui a remplacé le PVC pour les bouteilles d’eau. Le P£T peut se dégrader sous l’effet de la chaleur, des frottements et évidemment… du temps ! Cette dégradation libère des microparticules et des nanoparticules de plastique dans l’eau. Mais ce n’est de loin pas tout, car les plastiques peuvent contenir des produits chimiques, tels que le bisphénol A (BPA), les phtalates, le plomb, le cadmium et autres additifs chimiques. Ces substances sont connues pour leurs effets perturbateurs endocriniens, pouvant affecter le système hormonal et reproducteur. Les microparticules de plastique, en raison de leur taille microscopique peuvent être ingérées et pénétrer le système digestif. Certaines particules, notamment les nanoplastiques, pourraient traverser la barrière intestinale et s’accumuler dans les organes, posant de réels risques potentiels pour la santé. Certes, les effets exacts des microparticules de plastique sur la santé humaine sont encore largement méconnus et d’autres scientifiques les nommeraient « aléatoires ». Pourtant certaines recherches suggèrent un potentiel impact toxique, en raison des additifs chimiques utilisés dans la fabrication des plastiques. En effet, plusieurs études assez récentes ont mis en lumière les dangers potentiels de l’eau en bouteilles PET :
Environmental Science & Technology (2022) : Cette étude a révélé que les personnes ingèrent en moyenne 5 grammes de plastique par semaine, principalement via l’eau en bouteille. Les analyses ont montré la présence de plus de 250 000 fragments de plastique par litre dans certaines eaux embouteillées
INSERM (2023) : Une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) a établi un lien entre l’exposition aux composés chimiques des bouteilles en plastique, comme le bisphénol A (BPA) et ses substituts (BPS, BPF), et un risque accru de 40% de développer certains cancers hormonodépendants
Umvie (2023) : Cet article [1]souligne les risques liés aux substances chimiques potentiellement nocives libérées par les bouteilles en plastique, notamment le BPA et les phtalates, qui peuvent avoir des effets perturbateurs endocriniens et des impacts sur la santé reproductive.
Ces études [2]montrent l’importance de comprendre les risques associés à l’utilisation de bouteilles en plastique et de chercher des alternatives plus sûres.
Les bouteilles en verre alors ?
Pour minimiser votre exposition aux microparticules de plastique, il est recommandé de privilégier les bouteilles en verre ou en acier inoxydable et de réduire l’utilisation de plastiques à usage unique. Formidable ! Mais où diable trouve-t-on ces bouteilles en verre ?
J’ai fait un tour du marché et le résultat est consternant : les grandes enseignes n’en proposent pratiquement pas. J’ai donc essayé avec l’eau du robinet dans une cruche en verre.
Comme je l’ai exposé tout au long de mon article, l’eau potable est vitale pour notre santé, mais elle peut contenir des impuretés et des substances indésirables. Si vous regardez bien l’image vous verrez qu’il y a au fond du pot en verre trois bâtonnets de charbon actif. En fait, le charbon actif, également connu sous le nom de charbon Binchotan, est un matériau fabriqué à partir de diverses sources de carbone, telles que le bois ou la noix de coco. Sa caractéristique principale est son extrême porosité, qui lui permet d’adsorber une grande quantité de contaminants. C’est lors d’un de mes voyages au Japon– il y a bien longtemps –que j’ai appris à m’en servir. Les Japonais, eux, les utilisent d’ailleurs depuis des siècles. Le charbon actif est aujourd’hui mondialement reconnu pour ses capacités filtrantes et ses propriétés purifiantes.
Voilà que je découvre une toute nouvelle science
La vie a souvent un sens de l’humour surprenant. Juste au moment où l’on s’y attend le moins, la Providence place sur notre chemin une personne qui nous ouvre de nouvelles perspectives. » J’ai rencontré Madame Simone Geoffroy à Satigny, dans le canton de Genève, qui m’a exposé en bref une science que je ne connaissais pas. Regardez :
La Cytamphology est une science récente exploitant l’énergie en triple résonance émise par les principes actifs des végétaux pour rééquilibrer les échanges endocriniens. Son action sur les organismes humains est purement biophysique, et donc sans la moindre réaction biochimique. Du reste, elle est totalement non toxique, sans effets secondaires ni interactions avec les médicaments chimiques, homéopathiques, etc. Elle ne remplace évidemment pas la médecine traditionnelle, mais elle propose une approche globale de la personne, avec un protocole personnalisé qui renforce l’organisme. Les effets biophysiques favorisent l’équilibre de la personne et améliorent son niveau de santé. En conclusion, la Cytamphology offre un travail de fond et une amélioration durable, pouvant être utilisée en prévention ou en complément de la médecine conventionnelle.
Mais quel rapport avec la qualité de l’eau ?
Nous sommes constitués d’eau en très grande majorité et certains de nos organes plus que d’autres. Un schéma vaut mieux que des explications parfois
Le laboratoire d’Amelia Group SA, dont Mme Simone Geoffroy est à la tête, a produit des gouttes vraiment exceptionnelles.
Lab’eau permet à l’eau de retrouver ses propriétés bio-physiques, de se structurer, de faire éclater ces grappes de molécules d’eau, la rendant biodisponible. Elle devient de l’eau vivante, circulante, biodisponible, hautement assimilable. Elle pénètre plus facilement dans les cellules, facilite les échanges cellulaires et permet d’éliminer ce dont elles n’ont pas besoin et absorbent dans le liquide interstitiel ce dont elles ont besoin ; c’est le propre de la Cytamphology. Le renouvellement de l’eau des cellules est très important pour l’équilibre cellulaire, notamment pour leur reproduction, qui doit se faire à un rythme régulier et non de façon anarchique. Avec Lab’eau, les cellules se renouvellent plus facilement ce qui est une source de rajeunissement. Les cellules ne se renouvelant pas facilement entraîne un vieillissement prématuré. Lab’eau restitue la neutralité à l’eau, une eau basique ou acide est un stress pour les cellules qui doivent s’adapter. Lab’eau assure une meilleure résistivité et meilleure conductibilité, propriétés d’une eau fraîche et légère comme de l’eau de source.
Si vous avez l’habitude de boire de l’eau minérale en bouteilles plastique, mettez cette eau dans une carafe ou dans une bouteille en verre, comptez 2 gouttes par litre, pour votre propre consommation. Pour 10 litres, vous en mettrez 4 gouttes, pour 100 litres 8 gouttes et 16 pour 1000 litres. L’eau contenue dans un réservoir d’eau de pluie par exemple se conservera à merveille.
Et croyez-moi, en rajoutant seulement 2 gouttes de Lab’eau, j’ai encore amélioré grandement la qualité de notre eau. Ce sont essentiellement nos amies et copines qui nous disaient retrouver un goût exceptionnel à cette eau. Je pense que ce n’est pas un mystère que les femmes aient généralement plus de papilles gustatives que les hommes. Ces papilles, situées principalement sur la langue, sont responsables de la détection des saveurs.
Je pense sincèrement en tant que journaliste scientifique avoir fait découvrir une alternative idéale pour ceux qui recherchent une eau pure et surtout vivante sans avoir à recourir aux bouteilles en plastique, lesquelles contiennent elles-mêmes des résidus polluants comme le plastique.
Maintenant, si vous ne pouvez pas recourir à l’eau du robinet, car n’étant déjà pas bonne au départ, ou si vous ne trouvez pas dans le commerce de l’eau en bouteilles de verre alors prenez quand même de l’eau de bouteille en PET. Et faites comme moi, mettez des bâtons de charbon actif et ajoutez deux gouttes par litre de Lab’eau.
Information commerciale : le flacon-pipette de Lab’eau de 10 ml (200 gouttes) est proposé au prix de CHF 34.- ou 34 Euros :
Le laboratoire est AMELIA Group SA 1242 Satigny Suisse
Simone Geoffroy vous répondra au numéro de tél. +41(0)22. 757.69.55
www.actifenature.ch; https: //cytamphology.science
[1] Les dangers de l’eau en bouteille : quels risques pour la santé ?
[2] Les risques sanitaires de l’eau en bouteille plastique et de l’eau du robinet – Vulgaris-medical