Il y a longtemps que je connais mon ami Neil d’Ourson. Nous avons fait plusieurs voyages au long cours ensemble. Souvent, je suis époustouflé par la singulière créativité de Neil: de sa capacité à décloisonner les divers domaines, tout comme moi d’ailleurs. Cette faculté et cette sorte de créativité commune nous relie. Bien sûr, nous ne sommes loin d’être d’accord sur tous les points… quoique, le nombre d’année s’étendant sur nos os, nous trouvons de plus en plus de terrains d’entente. Aussi notre curiosité du monde, notre franchise et notre bienveillance mutuelle finissent toujours par nous permettre de trouver des solutions harmonieuses à de possibles problèmes.
À sa manière, sur terre, à pied, à cheval, en train, en 4×4, etc., il en a vu autant que moi sautant d’un paquebot à l’autre pour faire deux fois le tour du monde. Tous deux, nous avons donc acquis des expériences fort différentes, lui sur terre, moi surtout sur mer et aux escales. Cette richesse d’expériences, nous la mettons en commun pour le plaisir de nos lectrices et lecteurs. Bien sûr, Neil est un artiste profond. Pas étonnant alors que ses collections, notamment ‘J’arrête le temps’, tout comme les œuvres artistiques qu’il propose, interpellent ses fans. Mais ce n’est pas l’artiste que je j’aimerai vous présenter aujourd’hui. Entre Noël et Nouvel an, nous avons en effet tous les deux réfléchi comment je pourrai en tant qu’initiateur de notre magazine Découverte, le magazine qui ouvre les yeux et l’esprit faire éclore ce dernier. Tout au long de ces deux dernières années, nous avons publié moultes articles à propos de toutes les rubriques que nous vous proposons. Il y en avait une encore que j’eusse à l’idée de faire naître dans un contexte un peu plus spirituel. Comme vous le savez depuis longtemps, notre magazine ne se consacre toutefois ni à la politique ni à la religion. Mais par les temps qui courent et la conscience qui éclot dans notre univers, lorsque Neil m’a déclaré qu’il était prêt à vous exposer chaque fois une idée, un propos, etc. qui fournirait matière à réflexions, je lui ai lancé : « ça, c’est une bonne idée, Neil!». Du coup, j’ai décidé d’intituler cette récurrence de pensées sous le générique « Saisir l’instant ». Je n’y mettrai pas mon grain de sel, pourvu qu’il s’en tienne à notre éthique éditoriale. C’est donc avec plaisir que vous lirez dorénavant sa chronique. Bien sûr, vous pourrez le contacter. Il y aura toujours une petite ligne rappelant son numéro de téléphone ou son e-mail. Puisse ce nouveau générique vous plaire!