… lié à la surexposition aux ondes électromagnétiques !
Nous allons aborder en détail, un par un, les impacts biologiques dont nous vous parlons depuis longtemps et qui sont la conséquence des brouillards électromagnétiques (électro smogs), émis par une onde électromagnétique d’origine technologique, donc sinusoïdale et transverse. Ce brouillard est nommé champ de fuite, champ de torsion ou parfois de façon impropre champ scalaire, dans les plateaux d’ingénierie. (Voir notre article https://www.decouverte-mag.com/brouillard-electromagnetique-un-impact-sur-les-individus/)
Un cœur “électrique”
Je vous l’avais déjà évoqué, le cœur est l’organe électrique par excellence du corps (électrocardiogramme, défibrillation, etc.). Le cœur est effectivement un organe électrique fascinant ! Il possède un système de conduction électrique complexe, comprenant le nœud sinusal (ou nœud sino-auriculaire), le nœud auriculo-ventriculaire, et le faisceau de His. Ce système permet de coordonner les battements cardiaques. L’activité électrique du cœur peut être mesurée à l’aide d’un électrocardiogramme, qui enregistre les signaux électriques et aide à diagnostiquer diverses conditions cardiaques. Les cellules cardiaques génèrent des potentiels d’action, des impulsions électriques déclenchant la contraction des muscles cardiaques, permettant ainsi au cœur de pomper le sang. Des anomalies dans le système électrique du cœur peuvent d’ailleurs entraîner des arythmies, des battements cardiaques irréguliers pouvant nécessiter un traitement médical. Le nœud sinusal est souvent appelé le “pacemaker naturel” du cœur, car il initie les impulsions électriques qui régulent le rythme cardiaque. Voyez-vous, le cœur est donc également l’organe le plus électromagnétique du corps humain. Du reste, il n’est pas toujours décrit comme une pompe, comme nous l’apprenons à la faculté. De nombreux savants y voient un vortex énergétique.
Qu’est-ce qu’un vortex énergétique ?
Un vortex énergétique est un phénomène tout à fait fascinant. Les scientifiques le décrivent souvent comme étant un tourbillon d’énergie subtile. Autrement dit, un vortex[1] énergétique est donc un point où les lignes d’énergie naturelle géobiologiques, appelées lignes de Ley, se croisent. Ces points sont considérés comme des centres d’énergie concentrée.
De fait, si l’on visualise le cœur par le dessus, on constate qu’il est constitué lui-même d’un vortex d’oreillettes et de ventricules. Cela dit, comme le cœur est électrique, il est bien évident, que sous l’effet d’un champ électromagnétique d’origine technologique, ce dernier est en souffrance et ce même à partir de faible charge environnementale. Ce cœur est environ 5000 fois (!) plus électromagnétique que le cerveau… qui, lui aussi, et pour les mêmes raisons réagit vivement.
Il faut donc envisager les champs électromagnétiques d’un point de vue toxicologique, désormais.
Des exemples éloquents
Les champs magnétiques pourraient être de même nature que le stress qui serait vécu lors d’une attaque à main armée. Autre exemple : un conflit verbal violent. Ou encore un troisième la peur avec comme correspondance le rein en décodage biologique, ou toujours en décodage biologique le foie dans les cas de colère.
Mais il s’agit-là d’une exposition trop prolongée à un ou des écrans, comme on le voit aujourd’hui dans notre univers informatique, on parlerait alors plutôt de stress invisible passif.
Que se passe- t-il, par exemple, lors d’une attaque dans la rue ?
Il s’ensuit une libération d’adrénaline (ou épinéphrine) dans la circulation sanguine, dans la moelle et les glandes surrénales (qui coiffent le rein). Ce phénomène provoque une cascade hormonale complexe faisant sécréter du cortisol (analogue naturel de la cortisone) par les surrénales.
Ce cortisol prépare le corps à une réaction de lutte ou de fuite, en fournissant une source d’énergie immédiate aux muscles. Cette source d’énergie est comme vous le savez certainement, le glucose !
Il inhibe aussi la production d’insuline en vue d’éviter le stockage éventuel du glucose, favorisant ainsi son utilisation immédiate comme carburant. Le cortisol qui rétrécit les artères augmente la pression sanguine, tandis que l’épinéphrine, elle, augmente la fréquence cardiaque entraînant un pompage du sang plus fort et plus rapide. Pourquoi ? Pour obtenir un meilleur débit en vue d’un apport accru. C’est ce qu’on appelle la bouffée d’adrénaline, qui libère une force musculaire plus importante.
En situation normale, un mécanisme de régulation intervient et corrige la situation. Les niveaux d’hormones retournent à la normale en 1h30’ environ.
Regardons de plus près ce qu’il se passe lorsque les différents électro smogs empêchent cette régulation. C’est par exemple le cas d’un adolescent devant un jeu vidéo en réseau pendant plus d’une journée.
Sans mouvement et sans apport d’oxygène, de l’acide lactique est produit. L’acide lactique bloque les propriétés de mobilisation de la graisse par l’adrénaline. Il y a donc moins de graisse utilisée comme source d’énergie et donc moins de graisse brûlée. Résultat ? L’acidose s’installe. Le pH baisse dans le corps.
Mais c’est ce qu’il se passe aussi lorsque nous restons trop longtemps devant les écrans (ordinateurs, écran de télévision ou de smartphone).
A long terme, il se produit une inflammation, un diabète, des maladies cardiovasculaires, etc. D’où l’intérêt premier de se prémunir des champs électromagnétiques technologiques. Nous possédons les solutions et surtout le savoir-faire pour effacer ces impacts. Les résultats sont probants.
Notre équipe vous donnera les clés pour vous prémunir des effets nocifs des champs électromagnétiques de tous genres et pour améliorer votre état de santé !
[1] Il existe 3 types de vortex. Un vortex positif, également appelé vortex ascendant. Celui-ci est perçu comme étant bénéfique et revitalisant. Un vortex négatif, aussi appelé vortex descendant. Celui-là est considéré comme étant perturbateur. Il peut donc avoir des effets négatifs sur la santé. Enfin, il y a un vortex neutre. Ces vortex-là n’ont ni polarité positive ni négative et sont moins perceptibles.