Parmi ses savoir-faire et faire savoir, WE PROTECT utilise notamment ses compétences en naturopathie humaine et animale. Cette entreprise franco-suisse est surtout devenue une actrice incontournable tant en matière de biorésonance humaine qu’animale. Aujourd’hui, ce scientifique nous dévoile comment ces techniques révolutionnaires fonctionnent parfaitement avec le monde animal. Néanmoins, comme nombre de propos inexacts circulent sur le sujet, il «remet l’église au milieu du village ». La rédaction.
Même si cela semble évident, il convient de se rappeler au premier chef que l’animal est incapable de mettre des mots sur ses maux. Il est toutefois vrai que ses capacités à saisir instantanément ce qui l’entoure, – y compris les maux de son maître, existent sur un plan plus subtil que celui de l’être humain. Nous avons malheureusement perdu cette capacité primitive de relation avec notre environnement. Les animaux, eux, sont vrais au sens strict.[1]
D’où l’intérêt accru que nous devons leur porter quand nous nous engageons auprès d’eux (voir nouvelle législation française ou la loi fédérale sur la protection des animaux[2]).
Le champ vibratoire corporel de l’animal (CCA) ressemble énormément à celui de l’homme (CCH) ; lorsque ce champ corporel est perturbé, cela entraîne des conséquences néfastes sur les plans physique, instinctif et émotionnel. Car oui, on reconnaît aujourd’hui les animaux comme étant des êtres émotionnels et sensibles, dotés d’une conscience. Les thérapies alternatives, l’ostéopathie, la naturopathie, l’homéopathie, approches dont fait partie la biorésonance animale, se développent de plus en plus pour assurer le bien-être animal.
La comparaison avec un état idéal
Seuls les champs corporels du chien, du chat et du cheval ont été cartographiés précisément. La pratique vise donc à comparer un scan de détection énergétique et informationnel (pris sur place avec l’animal, grâce à une sonde de captage), et de le comparer au scan idéal de l’animal en question.
Il est certes aussi possible de poser un diagnostic en biorésonance et en biofeedback par rééquilibrage à distance. Cependant, dans ce cas , les thérapeutes se servent d’une image, de quelques poils ou d’un autre support organique représentant la signature énergétique de l’animal.
Ce n’est toutefois pas la méthode que WE PROTECT a choisi de pratiquer. En effet, pour nous, le contact avec l’animal et le lien établi sont, d’un point de vue quantique, beaucoup plus intéressants à sonder, en plus de la méthode employée.
On peut traiter la matière (par sa partie vibratoire, fréquentielle en amont de la matière, celle qui oriente et donne-le « La » de la biologie de l’animal. C’est en quelque sorte la boîte à outil de l’organisme (ou le local technique, si vous préférez), soit l’énergétique, voire l’informationnel. Le thérapeute inspecte pour ainsi dire l’organisme et l’aspect psycho-émotionnel de l’animal.
Il est impossible d’effacer une information inscrite dans un champ vibratoire ! On ne peut que réduire au maximum l’intensité de son expression dans la matière en la gardant sous contrôle.
Rappelons par exemple qu’un membre amputé existe toujours bel et bien dans le champ corporel, car c’est la véritable carte d’identité du vivant, au-delà des cartographies génétiques ou immunitaires, elles-mêmes, sièges de l’identité organique. Donc, même en ayant disparu sur le plan de la matière, le membre ou l’organe peut continuer à poser exactement les mêmes problèmes qu’avant l’amputation.
Les animaux souffrent souvent des mêmes pathologies psycho-émotionnelles, liées à l’abandon, au rejet, à la violence, au stress… infligés par les humains, au-delà des pathologies rencontrées en pratique courante ou exceptionnelle.
Le rééquilibrage qui suit un diagnostic est totalement sans danger, indolore et surtout non invasif.
Que peut-on diagnostiquer et réparer chez l’animal ?
Nous vérifions le bien-être général de l’ensemble des divers systèmes d’organes, au travers de leurs émissions scalaires respectives, et donc de l’intégrité du CCA.
Il s’agit bien sûr d’ondes électromagnétiques vortexées, longitudinales, captées et renvoyées, à l’aide d’un petit appareil de médecine quantique. Rappelons que les recherches sur les ondes électromagnétiques vortexées et longitudinales sont en plein essor. Les ondes vortexées sont explorées notamment pour leur potentiel à transporter plus d’informations dans les systèmes de communication optique. Quant aux ondes longitudinales, bien que moins courantes dans le domaine électromagnétique, elles sont cruciales pour comprendre certains phénomènes dans les plasmas et les matériaux conducteurs[3].
Mais revenons à notre appareil de biorésonance quantique pour humains ou animaux. Il analyse les les systèmes respiratoire, circulatoire, digestif, lymphatique hépatique, musculaire, squelettique. Autant dire qu’il constitue une aide très précieuse pour le vétérinaire et ce afin de détecter les distorsions de manière préventive, lors du diagnostic et en vue du rééquilibrage, selon ses préconisations.
Dans le cas de blessures physiques, ce dispositif se révèle encore plus utile, notamment pour la cicatrisation et la régénération cellulaire, la réparation du cartilage et du capital osseux, la lutte contre les douleurs et le soulagement des articulations douloureuses…il est courant d’observer des consolidations de fractures en une durée plus faible que celle annoncée.
Quant à l’aspect psycho-émotionnel, une analyse fréquentielle du CCA (Champ Corporel Animal) permet de détecter les traumatismes passés ou les problèmes relationnels éventuels et de résoudre les distorsions vibratoires qui en sont à l’origine.
Ma recommandation : La biorésonance est certes une méthode complémentaire confirmée qui peut apporter beaucoup au patient humain ou à l’animal, mais ne saurait toutefois pas remplacer un traitement à suivre auprès d’un médecin ou d’un vétérinaire.
Philippe MARGOUX MENNERET
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[1] En français, le mot “vérité” trouve son origine dans le mot grec ancien “alètheia” (ἀλήθεια). Ce terme est composé de “a-” (préfixe de négation) et “lèthè” (qui signifie “oubli”). Ainsi, “alètheia” peut être interprété comme “ce qui n’est pas oublié” ou “dévoilement”12.
[2] Loi fédérale sur la protection des animaux (LPA) du 16 décembre 2005 (État le 1er septembre 2023) RS 455.
[3] Voir notamment : Résumé : ondes transversales et ondes longitudinales (leçon) | Résumé : ondes transversales et ondes longitudinales (leçon) | Khan Academy https://fr.khanacademy.org/